L’objet de cette étude est de connaître l’appréciation par les recruteurs du profil des arbitres et de mesurer leur employabilité. Enquête réalisée sur Internet du 1er au 9 septembre 2022. Echantillon de 300 recruteurs (DRH, RRH) travaillant dans une entreprise de 10 salariés et plus, représentatif des entreprises françaises de 10 salariés et plus. La représentativité de l’échantillon est assurée par la méthode des quotas appliqués aux variables suivantes : secteur d’entreprise, taille d’entreprise et région.
Principaux enseignements :
Le jeune arbitre, un candidat pétri de qualités aux yeux des recruteurs :
- 92 % des recruteurs ont une bonne image des arbitres auxquels ils associent de très nombreux traits d’image positifs.
- Pour les recruteurs, être arbitre permet de développer des qualités personnelles (95 %), professionnelles (92 %) et des qualités de management (90 %).
- Confiance en soi (96 %), honnêteté (93 %), objectivité (93 %), autonomie (92 %)… Les recruteurs associent de nombreuses qualités personnelles aux arbitres, seule la créativité leur ferait défaut (43 %).
- Professionnellement, là encore, les recruteurs associent des nombreuses qualités aux arbitres : rigueur (96 %), engagement (95 %) ou encore réactivité (93 %) et intégrité (93 %).
- Ils voient aussi dans les arbitres des managers de talent dotés d’autorité (96 %), de capacités à prendre des décisions (95 %), du sens des responsabilités (94 %) ou encore d’une capacité à gérer les conflits (93 %).
Résultat, tous les métiers leur semblent adaptés aux arbitres, des fonctions de management (91 %) aux métiers commerciaux (78 %), à l’exception des métiers de la création (50 %).
- 90 % des recruteurs considèrent que les qualités développées par les arbitres leur permettront d’évoluer plus rapidement dans une entreprise
In fine pour 89 % des recruteurs être arbitre constitue un plus en termes d’employabilité.