Toulon, Narbonne, Tarbes, Pau, Toulouse, Montauban, Paris, Massy et Colomiers : le tour de France 2014/2015 des clubs de TOP 14 et PRO D2 permet à l’opération « Autour des Arbitres » de poursuivre sa mission de démocratisation et de dialogue entre arbitres et amoureux du rugby, lors de rencontres organisées au sein des clubs professionnels.
Pour cette 5éme étape, près de 70 personnes, dont 25 arbitres, ont été reçues tour à tour à Perpignan et Carcassonne pour échanger de manière interactive autour des subtilités des règles et de leur application.
Un débat animé par Jean-Paul Cazeneuve qui s’est annoncé très intéressant et constructif.
- François Batista, représentant du groupe la poste et directeur du centre courrier de Millas, faisait un lien entre le rôle de l’arbitre et celui du groupe La Poste tous deux agents du lien social.
- Guillaume Villaceca, 2éme ligne et capitaine de l’USAP, a quant à lui expliquer l’importance de la distinction entre « Les fautes bêtes » et les « fautes utiles » .
- De son côté, Alain Hyardet, entraineur de l’USAP, a exprimé son souhait d’éliminer la règle de l’avantage.
- Mathieu Raynal, arbitre professionnel du pays Catalan, a exprimé l’importance de la clairvoyance de l’arbitre.
- Enfin, Sylvain Deroeux, directeur général de L’USAP, est revenue sur le rôle primordial de l’arbitre et de sa montée en compétence qui mérite d’être de plus en plus reconnu.
« Autour des Arbitres » est une initiative impulsée par la volonté de la FFR, de la LNR et de La Poste d’œuvrer pour une meilleure compréhension des règles du rugby et du rôle de l’arbitre, à laquelle s’associent également Provale et Tech XV.
Sylvain Deroeux : « l’arbitrage mérite d’être plus reconnu. »
François Batista « Les arbitres sont le lien entre tous les acteurs du rugby, comme peut l’être La Poste avec ses clients. »
Guillaume Villaceca : « Il y a la faute utile et la faute bête. Moi je ne fais que des fautes utiles. »
Alain Hyardet( à gauche) : « Je souhaite qu’il n’y ait plus de règle de l’avantage. »
Mathieu Raynal (à droite) : « On ne peut pas tout siffler, l’arbitrage du haut niveau requiert un tri pertinent des fautes. »
Quelques retombées presse :