Que vous soyez joueur, entraîneur ou retraité du monde sportif, si vous avez entre 15 et 55 ans, pourquoi ne pas devenir arbitre ?
« Engagez-vous ! » nous dit Franck Maciello le DTNA, invitant ceux qui le souhaitent à rejoindre l’arbitrage ! « Nous avons besoin de jeunes femmes et hommes dans nos rangs, et rien de plus simple s’ils le désirent avec l’adresse jeveuxarbitrer@ffr.fr«
La Direction Nationale de l’Arbitrage poursuit sa campagne de recrutement, car c’est bien dans les débutants d’aujourd’hui que se trouvent ceux qui succéderont dans quelques années à Jérôme Garces, ou tous les autres arbitres français qui brillent actuellement au haut niveau, de Tual Trainini à Aurelie Groizeleau en passant par Romain Poite, Doriane Domenjo, Mathieu Raynal et tant d’autres.
Il faut plusieurs années pour atteindre le très haut niveau, et cette ascension se prépare, tout comme se prépare le fait de ne pas y accéder. « Nous avons besoin d’arbitres internationaux précise Franck Maciello, mais nous avons tout autant besoin d’officiels pour nos jeunes ou nos séries territoriales. Et que l’on siffle une finale de Coupe du Monde ou une rencontre territoriale, le plaisir est le même« . Car arbitrer c’est aussi du plaisir, et aussi une occasion pour celles et ceux qui s’y engagent de progresser, de se construire et et d’évoluer.
Nombreux sont les arbitres au bout de quelques années à reconnaître que cette pratique leur a permis de développer des compétences, d’investissement dans l’effort, de prise de responsabilités, de décision leur servant ensuite dans leur parcours professionnel ou personnel. « Aujourd’hui, certains joueurs ou joueuses s’arrêtent, par choix, ou sur une blessure, ou car ils ne sont plus dans les schémas de leur coach, il faut qu’ils sachent qu’ils peuvent encore être tout autant utiles sur un terrain qu’ils l’étaient dans leur équipe, en venant arbitrer » ajoute le DTNA, « et nous saurons les accueillir, car cette discipline individuelle est avant tout une aventure collective, partagée, l’arbitre vit aussi au travers du groupe de ses pairs, comme le joueur« .
Le plus dur est peut-être d’oser se lancer, mais le parcours de formation et d’accompagnement est très structuré et encadré dans les Ligues, et une attention particulière est apportée à celles et ceux qui débutent.Il suffit finalement, d’être licencié et d’avoir cette envie que tous ceux qui officient déjà ont eue un jour, et de se dire qu’avec un sifflet ou un drapeau, on peut-être très utile pour le jeu et les joueurs!
« Osez ! Je ne vous garantis pas que vous serez un jour international, mais je peux vous assurer que si vous nous rejoignez, vous apprendrez à mieux vous connaitre, vous grandirez, vous partagerez avec des femmes et des hommes tout aussi passionnés que vous« . Et s’il y a un âge limite pour arbitrer 55 ans, et que l’on peut commencer très tôt à 15 ans, il n’y a pas d’âge ni de genre pour cliquer sur jeveuxarbitrer@ffr.fr
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